Pour le Conseil d’Etat, les gains ou pertes de change pouvant être constatés lors de cessions de biens immobiliers situés hors de France constituent une composante des plus ou moins-values brutes réalisées et sont pris en compte pour la détermination des sommes imposables en application de l’article 150 U du CGI.
Le Conseil d’Etat a rendu une décision identique le 13 septembre dernier en matière de plus-value mobilière : "Cession de valeurs mobilières : le gain ou la perte de change constitue une composante de la plus ou moins-value réalisée"