Le cabinet Sadec-Akelys, partenaire des entrepreneurs, revient sur la réforme du RSI

27/10/2017 Par Sadec-Akelys
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En 2017, le Régime Social des Indépendants (RSI) concerne 6,5 millions de bénéficiaires, l’annonce de sa suppression au 1er janvier 2018 et de son adossement au Régime Général soulève de nombreuses questions pour les chefs d’entreprises qui y côtisent. En tant que partenaire des entreprises et de leurs dirigeants, Sadec-Akelys, cabinet d’expertise comptable de 340 collaborateurs, accompagne les chefs d’entreprise dans l’optimisation de leur statut social et leurs démarches administratives.

 

Le RSI est surtout contesté en raison de dysfonctionnements administratifs

En fonction de la forme juridique de l’entreprise et de la hauteur de leur participation dans celle-ci, les dirigeants d’entreprises peuvent être affiliés à deux statuts : celui de Travailleur Non Salarié (TNS) relevant du RSI, ou celui de dirigeant relevant du Régime Général.

Le statut de TNS qui concerne la majorité d’entre eux, présente l’avantage d’être moins coûteux pour les bénéficiaires que le Régime Général. Pourtant, ce Régime Social créé en 2005 est fortement remis en cause par les TNS, notamment à cause de nombreux dysfonctionnements administratifs.

« Les problèmes que nous avons constaté auprès de nos clients relèvent principalement d’erreurs de calculs, de courriers contradictoires et de difficultés à se faire entendre. Dans certains cas, ce manque de dialogue peut déboucher sur des procédures contentieuses disproportionnées. C’est pourquoi le cabinet Sadec-Akelys, qui accompagne les entreprises dans toute leur gestion sociale, aide les dirigeants dans leurs démarches relatives au RSI. » déclare Olivier Drouilly, Président de Sadec-Akelys.

Afin d’accompagner au mieux les dirigeants dans leurs démarches liées au RSI , dans le but de lisser au mieux les cotisations et gommer ainsi le décalage entre la perception des revenus et le versement des charges inhérentes, Sadec-Akelys propose de nombreuses prestations :

  • vérification des cotisations payées,

  • des cotisations prévisionnelles,

  • demande de restitution en cas d’excédent de versement,

  • personnalisé avec un agent du RSI en cas de litige.

« Si la mise en place du RSI est remise en cause, c’est qu’elle a été réalisée dans la précipitation, avec des systèmes d’information inadaptés. Aujourd’hui, pour ne pas se retrouver dans une situation similaire, il faudra être vigilent quant au rapprochement avec le Régime Général afin que les cotisations des indépendants ne soient pas alignées sur celles des salariés, ce qui correspondrait à une hausse significative des charges sociales pour les concernés , poursuit Olivier Drouilly.

Communiqué du 23 octobre 2017